lundi 17 août 2015

Subissant les avaries du système SNCF depuis des années et sans réaction véritable des intéressés, je vais tenter de suivre la trajectoire d'une réclamation - de l'envoi du courrier (qui, je n'en doute pas, deviendra "des courriers") jusqu'à l’éventuelle résolution. Le tout agrémenté de divers faits glanés au gré des voyages.
En gros, après un calcul régulier, mes trajets domicile/travail ont généré plus de 23 heures de retard en 2014. 2015 prend le même chemin. Très frustrant et, allez, énervant à la longue. Drôle, au final, car chacun des intervenants (chef de bord, cheminot, chef de gare et surtout, le client final) subit sans rien pouvoir faire et demande d'en faire part au Service Client. Ce dernier semblant surtout être devenu un parking de déresponsabilisation plutôt qu'autre chose - services externalisés donc sans réel rapport avec l'entité "monstrueuse" qu'est notre service national des chemins de fer et sa myriade de services,applis, sites webs et tutti quanti.

C'est parti :

1 commentaire:

  1. Après quelques semaines de congés, une vague espérance de réponse... que nenni. Pas un signe, pas un courriel, appel ou courrier. Niet. nada. Nichts. Zilch.

    Alors on se console comme on peut pour cette reprise avec un magnifique 20 mn de retard concernant le 7h21 depuis Evreux mardi 29/05 pour cause "d'acheminement du personnel". Hormis les rires dans le Hall de la gare, le personnel au guichet indique, désabusé "encore un arrêt maladie, en fait". Pas d'annonce dans le train, ni d'explication. On passe par un petit arrêt en Gare de Mantes et une arrivée avec le message indiquant, en effet, un membre du personnel manquant lors du départ du train.

    8H41, la journée reprend et je sens très fort qu'une très belle fin d'année ferroviaire s'ouvre à moi.

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